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  Papillons landais​​​​​​

Gilles Serge Odin présente

Papillons landais :

Illustration des papillons observés de jour autour du 

Musée du Site Géologique de Tercis (près de Dax, Landes)

 

Galerie d'images

 

La galerie présente des illustrations de Rhopalocères regroupés en 6 familles et classés par ordre alphabétique puis d’Hétérocères diurnes qui appartiennent à une variété de familles classées aussi par ordre alphabétique.

 

abréviations utilisées 

I à XII : mois d’observation, Ch : chenille, Env : envergure, F : femelle, L : longueur, M : mâle.

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Pieridae

Anthocharis cardamines, l'Aurore, F, M, II-IV

info : en 2018 le premier spécimen été observé le 15 mars, le mâle se reconnaît en vol grâce à ses ailes tachées d’orange dès le début mars ; la femelle est bien plus discrète ; l’activité constante du mâle permet rarement de fixer une image mais même sur photo floue, l’espèce se devine.

Colias crocea, le Souci, F, M, IV à X

info : les femelles se distinguent bien des mâles par leurs taches jaunes dans l’aire submarginale noire

Gonepteryx rhamni, le Citron, F, M, I à XII 

info : en 2019 le citron a été le premier papillon communément visible dès le 1er février ; il est resté commun par la suite et a été observé jusqu'en décembre.

complexe Leptidea sinapis/L. reali, la Piéride de la moutarde, F, M, III à X

info : l’espèce a été présente sur le site dès le 20 mars ; l’arrondi des ailes antérieures permet de reconnaître ce petit (Env ≈ 40 mm) papillon blanc au vol ; Gourvil et al., 2016, attirent l’attention sur la difficulté de distinguer les espèces  L. sinapis et L. reali ; ils notent que les spécimens dont le dessous est blanc correspondrait à L. sinapis ; sur le site, le dessous est toujours blanc ; les mâles ont une tache noire apicale nette plus ronde et plus petite dans la génération post printanière ; les femelles n’ont qu’une tache apicale discrète (1ère génération) ou absente (générations suivantes).

Pieris brassicae, la Piéride du chou, F, M, IV à IX

info : c’est la plus grande des piérides qui dépasse 60 mm sur le site (le spécimen n°23 illustré est petit) , la tache noire apicale des ailes antérieures forme un plus large croissant que pour les autres piérides du site.

 

Pieris napi, la Piéride du navet, III à X

info : la plus petite espèce du genre sur le site (Env autour de 40 mm) a des nervures  soulignées d’écailles grises et le dessous des ailes postérieures jaune ; elle butine au soleil, le pissenlit, le trèfle ou la cardamine dès avril : 1ère génération dont la femelle possède 2 taches rondes sur les ailes antérieures (1 ou 0 pour le mâle) ; la 2ème génération les nervures sont moins nettement grisées.

 

Pieris rapae, la Piéride de la rave, III-IV, VIII-X

info : en 2018, le premier spécimen a été observé le 26 mars sur le site d'étude ; cette piéride de taille intermédiaire entre P. brassicae et P. napi (Env variant autour de 45-50 mm) a le dessous des ailes postérieures nettement jaune avec un semis gris pour la 1ère génération ; ce semis gris est réduit dans les spécimens des générations postérieures ; 1 seul spécimen M de première génération a montré une tache noire (espace 3) en plus de la tache apicale (LRi083col200) ; cette tache apicale, diffuse pour la 1ère génération est mieux dessinée dans les générations suivante

© 2018 Gilles Serge ODIN

 Créé avec Wix.com

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